Ouvreur dans les théâtres pendant plusieurs saisons, Sylvain Ollivier a créé un solo en forme de catharsis pour dire adieu au métier méconnu qui fut un temps le sien. Entre danse, théâtre et burlesque, il y parle de son expérience et dévoile le quotidien de ce métier : tout ce que le public ne peut deviner – la répétition jusqu’à l’absurde des tâches quotidiennes, les longs moments d’attente, les moments de solitude, le port du costume noir... « Que ferait un ouvreur à qui l’on donne le droit d’être sur scène? Comment utiliserait-il cette liberté soudaine ? »